June 26, 2013
Assembly of First Nations Study Tracks Contaminants in First Nation Population
Ottawa (ON) – The Assembly of First Nations (AFN) today released a scientific report on the presence of environmental chemicals in the adult First Nation population. The report, First Nations Biomonitoring Initiative – National Results, provides a comprehensive set of data on the concentrations of environmental chemicals found in the First Nation population.
“This is the first nationally representative study of this type to focus specifically on First Nation people living on-reserve,” said AFN National Chief Shawn A-in-chut Atleo. “This report is a valuable tool in addressing the gap in knowledge about the exposure and concentrations of environmental chemicals in the First Nation population. There is much more we need to learn about exposure to household and industrial chemicals and, as this is the first report, the data collected will serve as a benchmark for future studies to determine if changes in the environment are resulting in an increase or decrease in concentrations of chemicals of concern. This research will also contribute to the emerging science and research in this area being conducted throughout the world.”
The First Nations Biomonitoring Initiative – National Results is a national survey that collects information relevant to the health of First Nations people through questionnaires and direct physical measurements. The biomonitoring component examined the presence of 97 environmental chemicals that were selected based on considerations such as suspected health risks, level of public concern and comparability with other studies. These environmental chemicals were selected from a candidate list of over 200 individual chemicals and groups.
Biomonitoring has become an essential tool in efforts to identify and control peoples’ exposure to environmental chemicals. Human biomonitoring is the measurement in people of a chemical, the products it makes after it has broken down or the products that might result from interactions in the body. Data can be used by scientists to assess if there are potential health risks from household and industrial chemicals present in an individual’s environment.
“The findings reveal that First Nations people, as with other Canadians, have traces of environmental chemicals in their body. However, the AFN wishes to emphasize that a majority of chemicals have no known or anticipated exceedance guideline to indicate where an adverse health effect might occur. The study concluded that the levels generally found in the First Nation population are currently not identified or believed to pose any immediate health risk,” stated Dr. Diego Garcia, AFN’s Public Health Advisor.
The First Nation Biomonitoring Initiative – National Results reveals no significant differences between the levels of trace metals and other environmental chemicals between First Nations and the Canadian population, though there are a few exceptions. Cotinine levels are significantly higher in First Nation participants, likely a result of a higher percentage of smokers. This is also the likely reason for significantly higher levels of cadmium in First Nations populations. A number of chemicals were found to be lower in the First Nation population, such as several insecticides and pesticides. Other regional or ecozone anomalies were identified for a number of environmental chemicals when compared to the overall national exposure levels in the First Nation population.
The data currently being released was collected in 2011 and includes a nationally representative sample of 503 First Nations adults aged 20 years and over. The First Nation Biomonitoring Initiative – National Results provides a useful baseline for subsequent longitudinal studies as well as for the study of specific hotspots or areas of concern.
A copy of the First Nations Biomonitoring Initiative – National Results is available at: www.afn.ca.
The Assembly of First Nations is the national organization representing First Nations citizens in Canada. Follow AFN on Twitter @AFN_Comms, @AFN_Updates.
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Contact information:
Alain Garon AFN Bilingual Communications Officer 613-241-6789, ext. 382; 613-292-0857 or [email protected]
Jenna Young AFN Communications Officer 613-241-6789, ext. 401; 613-314-8157 or [email protected]
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Le 26 juin 2013
Étude de l’Assemblée des Premières Nations sur les contaminants au sein de la population des Premières Nations
Ottawa (Ontario) – L’Assemblée des Premières Nations (APN) a publié aujourd’hui un rapport scientifique sur la présence de substances chimiques environnementales dans l’organisme des membres adultes des Premières Nations. Le rapport, intitulé Initiative de biosurveillance des Premières Nations – Résultats nationaux, fournit un ensemble complet de données sur les concentrations de substances chimiques environnementales présentes dans l’organisme des membres des Premières Nations.
« Il s’agit de la première étude nationale représentative de ce genre portant principalement sur les membres des Premières Nations vivant dans les réserves », a déclaré le Chef national de l’APN, Shawn A-in-chut Atleo. « Ce rapport est un outil précieux dans la lutte contre le manque de connaissances sur l’exposition et sur les concentrations de substances chimiques environnementales dans l’organisme des membres des Premières Nations. Il nous reste encore beaucoup à apprendre sur l’exposition aux produits chimiques ménagers et industriels. Comme il s’agit d’un premier rapport, les données recueillies serviront de référence à de futures études afin de déterminer si des changements dans l’environnement se traduisent par une augmentation ou une diminution de la concentration de substances chimiques préoccupantes. Ce rapport viendra aussi appuyer les données scientifiques et la recherche émergentes dans ce domaine, partout au monde. »
L’Initiative de biosurveillance des Premières Nations – Résultats nationaux est une enquête nationale qui recueille des informations pertinentes sur la santé des membres des Premières Nations au moyen de questionnaires et de mesures physiques directes. On a examiné la présence de 97 substances chimiques environnementales qui ont été sélectionnées en tenant compte des menaces pour la santé, du niveau de préoccupation du public et de la comparabilité avec d’autres études. Ces substances ont été retenues à partir d’une liste de plus de 200 produits ou groupes de produits chimiques.
La biosurveillance est devenue un outil essentiel dans les efforts visant à déterminer et à contrôler l’exposition aux substances chimiques environnementales. La biosurveillance humaine est la mesure de substances chimiques présentes dans un organisme, des produits qui en découlent lorsque ces substances se décomposent ou de ceux qui pourraient résulter d’interactions dans l’organisme. Les scientifiques utilisent ces données afin d’évaluer les menaces pour la santé provenant des substances chimiques contenues dans les produits ménagers et industriels présents dans l’environnement d’une personne.
« Bien que les résultats révèlent des traces de substances chimiques environnementales dans l’organisme des membres des Premières Nations, à l’instar des autres Canadiens, l’APN tient à souligner que, pour la plupart d’entre elles, il n’existe pas de lignes directrices indiquant à partir de quel niveau un effet néfaste pour la santé est susceptible de survenir. L’étude a conclu que les niveaux généralement détectés dans l’organisme des membres des Premières Nations ne présentent pas de risques immédiats pour la santé », a déclaré le Dr Diego Garcia, conseiller en santé publique de l’APN.
Malgré quelques exceptions, l’Initiative de biosurveillance des Premières Nations – Résultats nationaux ne révèle pas de grandes différences entre les niveaux de métaux-trace et d’autres substances chimiques environnementales entre les membres des Premières Nations et la population canadienne. Les taux de cotinine sont beaucoup plus élevés parmi les participants des Premières Nations, probablement en raison d’un plus grand pourcentage de fumeurs. C’est aussi probablement ce qui explique des niveaux beaucoup plus élevés de cadmium parmi les membres des Premières Nations. La teneur d’autres produits chimiques, comme plusieurs insecticides et pesticides, était plus faible parmi les Premières Nations. D’autres anomalies ont été identifiées dans certaines régions ou écozones par rapport aux niveaux nationaux d’exposition parmi les membres des Premières Nations.
Les données publiées ont été recueillies en 2011 et comprennent un échantillon national représentatif de 503 adultes des Premières Nations âgés de 20 ans et plus. L’Initiative de biosurveillance des Premières Nations – Résultats nationaux fournit une base utile pour des études longitudinales ultérieures ainsi que pour l’étude de certaines zones sensibles ou préoccupantes.
Pour obtenir un exemplaire de l’Initiative de biosurveillance des Premières Nations – Résultats nationaux,veuillez consulter le site web de l’APN à www.afn.ca.
L’Assemblée des Premières Nations est l’organisation nationale qui représente les citoyens des Premières Nations au Canada. Suivez l’APN sur Twitter à @AFN_Updates et à @AFN_Comms
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Renseignements :
Alain Garon, agent de communications bilingue de l’APN, 613-241-6789, poste 382; 613-292-0857 ou [email protected]
Jenna Young, agente des communications de l’APN, 613-241-6789, poste 401;
613-314-8157 ou [email protected]